mercredi 28 août 2013

KOK TOBE

Depuis hier, j'ai une nouvelle compagne de chambre, June. Elle est Anglaise et vit au Cathare. Nous échangerons beaucoup sur ce pays et les traditions qui y sont liées.

Que faire à Almati un dimanche quand les soucis administratifs se sont estompés... La regarder de haut. Donc, direction, Koke Tobé, traduction  colline verte, pour nous. Avec June, nous décidons d'y aller. Elle prendra le téléphérique, moi, le bus mais nous ne nous retrouverons pas sur les sommets, comme prévu. Patricia que j'avais croisée à Astana m'avait dit qu'il était très facile d'y aller en bus et surtout le prix n'est pas le même. Effectivement, pour le téléphérique : 1 000 TG, par le bus : 60 TG. Le problème, c'est qu'il faut trouver le bus et cela prend quelquefois du temps. C'est pour cette raison que nous ne nous sommes pas retrouvées avec June. 

Koke Tobé (1100m) est en fait une colline où ont été aménagées des zones de jeux pour les enfants, des jardins, quelques restaurants pour manger et des attractions diverses. Il y a également une tour pour les télécommunications qui permet de la repérer très facilement. On fait très vite le tour du sommet,  surtout si l'on n'a pas d'enfant. Par contre, on peut admirer Almati de haut et être aussi un tout petit peu plus près des sommets enneigés qui entourent la ville. Les meilleures visibilités sont bien sûr celles où la brume se fait discrète. Ce qui n'était pas le cas le jour où j'y suis montée. Qu'importe, le lieu devait être vu...

J'ai pu goûter à cet endroit, dans un restaurant, le Kaumis, boisson qui existe depuis des millénaires dit-on ici et qui est tout simplement un lait fermenté et fumé. De plus, il présenterait plein de qualités nutritives.  J'ose le dire... imbuvable. Je n'en ai pas refait l'expérience et je n'ai peut être pas d'éléments de comparaison, mais j'en resterai là...

Je suis redescendue au gîte sans retrouver June qui arrivera un peu plus tard. D'autres découvertes pour elle de la ville d'Almati où elle vient juste d'arriver...

Quelques discussions le soir autour de la vérification des papiers d'un Français et d'un Irlandais par des policiers Kazakhs qui aurait pu très mal se passer car l'un d'eux n'avait pas son passeport. Après les avoir priés de les suivre dans leur véhicule, pas de poursuites particulières mais des recommandations pour ne pas sortir sans son passeport.

Et je repense à mon enregistrement....

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