vendredi 9 août 2013

ASTANA

Arrivée a Astana, sans hébergement,  je trouve la seule auberge de jeunesse qui existe grâce a Eric qui tenait un guichet d'information à la gare. Il m'accompagnera et en traversant la ville en voiture, je vois déjà le contraste avec tout ce que j'ai vu jusqu'à présent : une ville futuriste dans la steppe, des buildings qui veulent tous être le plus beau, le plus nouveau, le plus avant-gardiste, le plus imposant.... surprenant, mais on s'y fait.

Les habitants, dès qu'ils savent que vous venez d'arriver à Astana, vous posent la question rituelle : vous aimez ? Au début, pas encore remise de ce contraste saisissant, je ne savais pas quoi dire. Peut être oui, peut être non. Maintenant, je sais que c'est OUI. Pourquoi pas !!!  C'est le "bébé" du Président, Noursoultan. Nazerbayev. Les habitants d'Astana ne portent pas tant que cela ce projet et ont du mal à accepter un tel bon en avant. Du moins, ceux que j'ai rencontrés.  C'est un bonheur pour les architectes qui veulent se faire la main et rivaliser de créativité. 

Pour moi, Astana = Visa et ma seule préoccupation va être de savoir comment. Donc, Ambassade de Russie, infos mais impossible pour moi de me projeter et d'imaginer l’itinéraire de si haut (au Kazakhstan). Donc, décision est prise d'aller à Almaty,  j'envisagerai mieux les parcours et je verrai avec le Consulat sur place

Un billet de train est trouvé, je pars le matin à 10h et je passerai une journée et une nuit entre Astana et Almaty, le nord et le sud.

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